Les Québécois vont devoir se résoudre à payer plus cher leur bois de construction et ce, même lorsque la pandémie de coronavirus ne sera plus qu’un mauvais souvenir.
«Nous sommes à une période charnière. Dans l’industrie forestière et la construction, il y a eu un avant COVID et il va y avoir un après COVID», lance Michel Vincent, directeur du département Économie et marchés du Conseil de l’industrie forestière du Québec (CIFQ).
Source : Le Journal de Québec
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