À l’approche des élections, les coopératives forestières réclament davantage de soutien de la part de Québec. Le Progrès est allé visiter l’usine de traitement de bois de Petit Paris, à Saint-Ludger-de-Milot, pour prendre le pouls des revendications.
À midi, une sirène retentit dans l’usine : c’est le début d’un quart de travail. Plusieurs employés s’affairent, casque sur la tête, bouchons dans les oreilles, à opérer les machines qui transforment les billots en planches.
Source : Le Quotidien
Note: Le Maître papetier n'est pas responsable de l'exactitude ou de la disponibilité du contenu sur les sites Web externes.