Il est souvent préférable de laisser des terrains en friche ou des forêts coupés se regarnir de verdure naturellement sans planter de nouveaux arbres, selon une vaste étude internationale à laquelle a participé un professeur de l’UQAM.
Publiée mercredi dans la revue «Nature», cette méta-analyse montre que la capacité de régénération des forêts a été sous-estimée en moyenne de 32 % par le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC).
Source : Le Journal de Montréal
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