« Du jamais-vu », « exceptionnel par l’ampleur, la durée », des « conséquences immenses sur le long terme » : quand les scientifiques se penchent sur les chiffres pour réaliser le bilan de la saison des feux au Canada, ils peinent à trouver les bons superlatifs.
« C’est simple : on a pulvérisé tous les records à l’échelle canadienne », lâche, ébranlé, Yan Boulanger, chercheur pour le ministère canadien des Ressources naturelles.
Source : Le Journal de Montréal
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