Les feux ravageurs, qui empêchent 1000 entrepreneurs forestiers d’aller récolter les arbres pour nos usines, vont finir par faire mal au portefeuille des Québécois, qui risquent de devoir payer plus cher pour leur bois de construction, leur papier et leur carton d’emballage.
«Si les opérateurs ne vont pas en forêt, il n’y a pas de bois qui est transporté, et donc pas de bois au sciage, et pas de blanches, ni de coproduits», résume Jean-François Samray, PDG du Conseil de l’industrie forestière du Québec (CIFQ).
Source : Le Journal de Montréal
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